Nom du personnage: Cry.
   Surnom: Le monstre.
   Âge: 3 ans.
   Sexe: Mâle.
   Race: Loup.
   Famille: Aucune.
   Appartenance: Meute du Phénix.
   Particularité: Décrire son pouvoir.

   Personnalité: (5 lignes minimun) Comment pourrait-on décrire Cry ? Pour commencer, il est incroyablement timide. Toujours avec la tête basse, il essaie avec succès de ne pas trop se faire remarquer. Sa générosité en est presque gênante parfois, mais certain abuse clairement de lui en le prenant pour leur esclave. Toutefois jamais il ne se rebelle, il a l'habitude de se faire maltraiter. De plus il est si naïf que l'on pourrait se demander s'il ne se moque pas de nous, de temps en temps. Mais non, c'est juste sa façon d'être. Sans oublier qu'il est sûrement l'un des pires menteurs que la planète est du portée. Toujours à parler d'une voix tremblotante, pas sûr de lui, alors qu'il pourrait être un merveilleux beau parler avec ses sublimes intonations. Mais il a peur. Constamment. Pas des autres. Enfin si, mais pas principalement. Non, il est terrifié de lui-même. Du monstre qu'il garde au fond de lui, dans le sombre côté de son cœur brisé. Car il sait qu'il est encore là, son autre lui, celui qui a tué ses agresseurs. Or, il ne veut plus faire de mal à quiconque. Mais comment faire lorsque son propre inconscient se démène à lui montrer sa véritable personnalité ? Elle le traque en rêve, transformant ses nuits en cauchemars. Il en a même oublié ce que dormir paisiblement veut dire, à force de ne pas réussir à se reposer véritablement. Il est de ce fait constamment fatigué, ce qui le rend encore plus nerveux que la normale. Il veille à ce que l'autre, le Monstre comme il l'appelle, ne remonte pas. Car lui est sadique, cruel, et n'hésite pas une seconde à user de ses forces pour tuer quiconque le gêne. En fait, Cry serait l'arme parfaite. Soumis, mais puissant. Il rechigne à utiliser son pouvoir, mais est incapable de le contrôler, si bien que les quelques qui le connaissent l'évite. Il ne cherche pas la solitude, mais l'attire. A vrai dire, il n'a aucune envie de vivre. Il tente régulièrement de mettre fin à ses jours, mais à chaque fois l'on en l'empêche... Combien de temps ce jeu mortel va-t-il continuer ?

   Physique: (5 lignes minimun) Si l'on devait choisir un seul et unique mot, ce serait mignon. pas beau, non, mais adorable. Il est plutôt de petite taille, avec une épaisse fourrure soyeuse. Il a une allure étrangement féminine, surement causé par ses traits d'une finesse exagérés. Ses courtes oreilles pointues surplombe sa délicate bouille arrondie. Son pelage est un splendide dégradé de gris de toutes sortes, si bien qu'il n'est jamais le même celons la lumière et sa position et donne l'impression qu'il est fait d'argent ou brille comme la lune. Son visage est toutefois plus clair, voir blanc, est met bien en évidence ces yeux d'un dorés incomparable. Ces yeux ? Non, ils ne sont pas tout deux identiques. Oui, ses yeux sont vairons. Le premier, celui de gauche est bel et bien à l’effigie du soleil, mais le second à conservé son apparence d'autrefois, lorsqu'il avait encore forme humaine, c'est à dire rouge comme le sang. Tout en lui incarne l'innocence et la pureté. Ou presque. Néanmoins rare sont les loups qui le déteste à vrai dire, autan pour son physique que pour son caractère. Il invite naturellement à la confiance, et son regard d'une tristesse infinie n'y ai surement pas pour rien. Succomberez-vous à ce charme des plus inhabituel ?
   

   Que penses-tu de la situation à laquelle tu es exposé ?: (5 lignes minimun) Vivamus condimentum orci non sapien bibendum rhoncus. Nunc laoreet, magna eget feugiat congue, augue dolor feugiat nulla, at luctus risus orci id velit. Nam eget diam nec erat eleifend laoreet. Proin fringilla rhoncus enim vitae consectetur. Pellentesque habitant morbi tristique senectus et netus et malesuada fames ac turpis egestas. Aenean tempus, augue ut posuere iaculis, turpis ipsum interdum tortor, in vulputate tellus nulla in arcu. Ut urna augue, laoreet vitae tempor ac, bibendum tempor dui. Nunc sit amet nulla nulla. Duis eu tortor at urna sollicitudin dictum at ac arcu. Mauris in eleifend est. Mauris ultrices, mauris tristique tincidunt placerat, lorem risus sodales sapien, eleifend consequat nunc dui sed urna. Morbi magna erat, porta id fermentum ac, volutpat non mi. Mauris mattis consequat nunc, non egestas ante rhoncus eu. Aenean vel sapien in arcu adipiscing viverra at ac odio.

   Est-ce que ton ancien vie te manque ?: (2 lignes minimun) Vivamus condimentum orci non sapien bibendum rhoncus. Nunc laoreet, magna eget feugiat congue, augue dolor feugiat nulla, at luctus risus orci id velit. Nam eget diam nec erat eleifend laoreet.

   Et aussi, si tu avais la possibilité, raménerais-tu une de tes connaissances dans le coin ?: (1 ligne minimun) Vivamus condimentum orci non sapien bibendum rhoncus. Nunc laoreet, magna eget feugiat congue, augue dolor feugiat nulla, at luctus risus orci id velit. Nam eget diam nec erat eleifend laoreet.

   

   (10 lignes minimun ou à décrire dans le journal et/ou dans les rps) Je m'appelle Christian. Aujourd'hui, c'est mon dix-septième anniversaire. Mais ça, personne ne le sait. Après tout, je ne suis qu'une erreur. Mon père a toujours eu tendance à apprécier les femmes. Ma naissance fut pour lui une catastrophe. Car j'étais la preuve même qu'il trompait sa femme, par le fais que je lui ressemblais énormément. Alors il loua une chambre dans un internat qui devait s'occuper de mon éducation de la maternelle au lycée. Ayant sauté une classe, je suis donc en dernière année. Ensuite, je devrais me débrouiller avec mes propres capacités. Mais il faut avouer qu'elles sont bien maigre...

Les premières gouttes de pluies s'écrasèrent sur mes cheveux que je venaient de laver. Je secouai en vain ma chevelure rebelle, les perles translucides refusant pertinemment de partir. Un soupir s'échappa de ma bouche et prit la forme d'un spectre blanc. Je serrait plus mon manteau contre moi, dans l'espoir d’absorber un peu plus de chaleur. L'hiver avait toujours était  une saison que j’apprécie, car au moins elle avait le respect de mettre les gens de la même humeur que moi avec ses pluies fréquentes parfois remplacé par des chutes de neiges qui n'empêchaient pas les cours. Mes yeux aussi ternes que rouges parcoururent le monde qui m'entourait sans émotions. Pour moi il était entièrement gris, sans aucuns intérêt. Ma main vain se placer naturellement sur le sac que je portais en bandoulière. Mes doigts fin se faufilèrent à l'intérieur et caressèrent tendrement la corde qui s'y trouvait. Elle était de bonne qualité, je l'avait choisit avec un soin presque religieux comme avait dit le vendeur. Une bonne partie de mes économies devait y être passé, mais là où j'allais je n'aurait plus besoin d'argent. Cet objet était en quelque sorte mon cadeau d’anniversaire. Mortel, dans tous les sens du terme. J'avais bien réfléchit. D'après internet, c'était une des façons les plus "agréable" de se suicider. Car mourir d'autre manière que naturelle n'était jamais agréable.

Je remets mon sac sur mon épaule, m'étirant après un cours des plus ennuyant. Encore une journée ordinaire. Donc inutile. C'est le genre de choses que j'oublie facilement. Je traine la carcasse qu'est mon corps hors de la salle. A peine ais-je fais quelques pas qu'un groupe me pousse dans un coin sombre et peu emprunté de l'établissement. Je n'affichais aucunes émotions, sachant déjà ce qui m'attendais à force de l'avoir vécu aussi souvent. Ce n'est pas pour rien que je suis recouvert de bleus. Le plus grand, le chef de la bande bien entendu, me donne un coup de poing au visage qui me fais lamentablement tomber par terre.

Ma main heurta un objet métallique. Surpris, mes yeux se tournèrent sans qu'on me corps ne bouge, afin de nourrir ma curiosité. Un clou. Mes doigts se tendirent vers ce qui n'aurait jamais du être là, et un éclat étrange passa dans mes pupilles alors qu'une idée venait de germer dans mon esprit. Un sourire s'afficha sur mes lèvres. Je serrais fermement ma main autour de mon arme improvisé, puis la plantait soudainement dans le pied le plus proche. C'est avec une curiosité malsaine que mes yeux regardèrent la chaussure se faire éventrer et des goutes écarlates gicler sur ma main. J'enfonçais encore L'adolescent retira vivement son pied, ce qui le fit se déchirer de part en part. Alors que je gloussais de sa stupidité, je plantais mes ongles dans son bras et m'en aidé pour le relever. On me frappa à nouveau, sur la joue, mais pas la moindre réaction ne parcourut mon corps, si ce n'est qu'un rire qui les fit frissonner. Les yeux écarquillé par la même folie qui avait prit mon être, je levais le clou et le plantait cette fois-ci dans l’œil de ma victime. Attrapant son épaule je l'empêchais de faire comme les deux autres, c'est à dire fuir en hurlant de terreur. Huuum... quel son merveilleux ~ Je remuais allègement la pointe dans l'orbite, chantonnant en observant le liquide grenat s'écouler sur ma main avant de gouter vers le sol et de s'y écraser en une flaque des plus attirante. Agrippant par le col le jeune homme qui me dépassait de deux bonnes têtes, je le plaquais violemment contre le mur. Petit, mais fort. Ma langue passa sur la joue de la victime qui frissonna de dégout, tendit que je récolté avec délice son liquide vital. Ma main armée passa négligemment sur le ventre délicat, avant de faire le même chemin en sens inverse mais bien plus profondément. Lâchant finalement le clou je mis mes deux mains dans le ventre afin de malaxer les divers organes que j'y trouvaient, avant d'en éclater les plus faibles. Ce que c'était bon ! Je me sentais revivre. Jamais je n'avais était aussi heureux.

Toutefois, quelques minutes plus tard, l'horreur de mon acte me frappa. Je reculais, fixais sans comprendre mes mains complètement écarlate, puis me mit à courir vers les toilettes en pleurant. Qu'avais-je fais ? Je venais de tuer quelqu'un qui ne faisait que me frapper ! J'étais un monstre ! Ne voyant qu'avec peine ce que je faisais, je me débattis avec la portière du dernier toilette avant de me souvenir que c'était dans le sens inverse qu'il me fallait tourner. J'avais choisis celui là en particulier, car il était le seul à avoir une poutre y passant au dessus. Je n'avais jamais cherché à savoir pourquoi, ou comment, surement un défaut de construction, toutefois c'était l'endroit idéal pour ce que je voulais faire. Je fouillais quelques instants dans mon sac et en sortit ma corde fraichement achetés. Montant sur la cuvette, je nouais efficacement la corde. Je m'étais souvent entrainé lorsque je pouvais. Je savais que ce jour viendrait. Je savais que je ne vivrais pas longtemps. Tout était prêt. Adieu...

Un spasme parcouru soudain mon corps, et je chutais contre le sol froid et dur sans comprendre ce qui m'arrivait. La douleur était forte, parcourant mon être par pulsion. Je me tordis à cause de la souffrance, hurlant pour que cela prenne fin, grattant en vain le carrelage en couinant. Mes muscles me donnait l'impression d'être fait de magma en fusion qu'on remodelait à sa guise, tel de la patte à modelée dans les mains d'une jeune enfant. Un éclair blanc m'aveugla, ou rouge, j'étais incapable de le décrire. Tout était si flou...ET puis, plus rien. Silence radio. Noir. La fin ?

Non, ce n'était que le début. Je suis un loup, vous y croyez, vous ? Mais pas que moi. Tous les humains. Je ne suis pas croyant, mais ça ressemble fort à l'un de ces jeux où l'humanité fut transformé en zombies par la main de dieu, bien que je préféré nettement être un canidés qu'un cadavre ambulant. Mais là n'était pas le problème. Alors que je m'apprêtais à continuer ce que je comptais faire avant de devenir ce que je suis, une louve et venu  et ma contraint à vivre. Mais un nouveau problèmes c'est rajouté à ma vie en plus du fait que personne ne me laisse mettre fin à mes jours. J'ai des pouvoirs. Je ne sais pas les contrôler. Et je risque de blesser ce qui m'approche, voir même tuer. Je sens que je vais avoir la vie la plus heureuse de tous les temps, youpi...